30 jours en tant que CEO à 1 MILLION.

30 jours en tant que CEO à 1 MILLION.

Du jour au lendemain, on te file les clés d’une entreprise qui génère 150 000€ par mois.

Un soir, au détour d’un dîner.


Le CEO me regarde et dit : "Je vais devenir papa."


Super nouvelle.


Puis il ajoute : "Je sais que tu as les épaules pour gérer la boîte pendant mon absence."


Quel challenge.

150 000€ de CA par mois.


Une équipe entière à manager.


Et si je fais une erreur ?
C’est des dizaines de milliers d’euros qui s’évaporent.


Pas le temps de réfléchir.


Le jour J arrive.


Sur mon bureau, j’ouvre le plan d’urgence “bébé est là”.
En haut de la page, une phrase attire mon attention :
"Bienvenue, vis ma vie de CEO. Tu vas bien t’amuser."


Spoiler : "m’amuser" n’était pas le mot que j’aurais choisi.


Chaque jour, une nouvelle urgence.

Chaque décision a un impact direct sur le business.


Très vite, j’ai compris.

Le rôle de CEO… c’est un tout autre jeu.


Bienvenue dans la peau d’un CEO


En 30 jours, j’ai compris ce que personne ne dit sur le rôle du CEO.


1) Tout le monde sous-estime le rôle du CEO

Quand tu bosses dans un pôle (marketing, pub, ops…), tu as l’impression que sans toi, rien ne fonctionne.

Que c’est toi qui fais tourner la boîte.


Mais voici la vérité :

Sans CEO, personne ne sait où aller.

  • C’est lui qui fixe le cap.
  • C’est lui qui décide des priorités.
  • C’est lui qui assume les risques.


Si le CEO se repose sur ses lauriers, la boîte stagne.

Et quand une boîte stagne… elle recule.


2) Un CEO pense au business 24h/24

Tu crois que le week-end, c’est fait pour souffler ?

Pas quand chaque décision impacte des milliers d’euros.

  • Un bug technique à 23h ? Tu dois réagir.
  • Un mauvais recrutement ? Ce sont des mois de travail perdus.
  • Une erreur sur une campagne pub ? C’est le risque d’avoir ton compte publicitaire suspendu.


Quand tu es CEO, ton cerveau ne s’éteint jamais.

Et ça… personne ne t’y prépare.


3) Confiance ≠ Laisser-faire

On te dit souvent :
"Il faut déléguer, faire confiance à son équipe."

Oui.

Mais si personne ne vérifie rien, c’est le chaos.

J’ai vite compris un truc :
"La confiance n’exclut pas le contrôle."


Tu peux laisser de l’autonomie, mais il faut contrôler à intervalles réguliers.

Sinon, le jour où un projet déraille… c’est toi qui ramasses les pots cassés.


Pourquoi j’ai décidé de ne PAS devenir CEO


Après 30 jours à ce poste, j’ai compris une chose :
Le titre de CEO, c’est sexy.


Mais le job ?
C’est une prison mentale où chaque décision peut faire exploser (ou couler) la boîte.


Et surtout…

J’ai réalisé qu’il y avait une autre place à prendre.

Celle du bras droit stratégique.

Quelqu’un qui structure, optimise et fait avancer le business

Sans porter la charge mentale à 100%.


Parce que les entrepreneurs ont besoin de cette personne.

Un CEO ne peut pas tout gérer seul.


Il a besoin de quelqu’un qui :
Comprend la vision.
✅ La transforme en plan concret.
Exécute et ajuste en autonomie.


Et ça, c’est une opportunité en or pour ceux qui savent saisir ce rôle.

Moins de stress.
Plus de liberté.
Un vrai impact.

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