Résumé :
Est-ce qu’on est prêt à perdre de l’argent sans paniquer ?

Dans cet épisode, on entre dans les coulisses émotionnelles et stratégiques de l’investissement dans son propre business.

On explore ce que ça change quand on commence à piloter comme un investisseur, pas comme un simple opérateur.

Spoiler : ce n’est pas une question de courage, mais de perspective.

Sujets abordés :

Quand on perd de l’argent (et qu’on panique) (00:00) - (04:14)

• La vraie difficulté quand on dépense sans retour immédiat.

• Ce qui se passe dans notre tête quand on investit avec son propre argent.

• Est-ce qu’on coupe trop vite l’acquisition quand ça va mal ?

• Et si le vrai problème n’était pas le manque de ventes mais un mauvais timing ?

Changer la perception du risque (4:15) - (13:20)

• Pourquoi retarder le paiement des ads change tout... même sans changer les résultats.

• Ce que les grandes entreprises font instinctivement et qu’on peut copier.

• Comment gérer l’illusion d’appauvrissement quand on scale.

• Pourquoi changer de stratégie à chaque obstacle peut nous faire stagner.

Growth, profit ou bonheur ? Il faut choisir. (13:21) - (22:45)

• Le mythe des chiffres : pourquoi un gros chiffre d’affaires ne veut rien dire sur notre vie perso.

• Les paliers invisibles qui transforment la nature du business.

• Pourquoi on ne coupe jamais l’acquisition même quand tout s’écroule.

• À quel moment tirer la sonnette d’alarme (et comment).

Accomplissement vs bonheur : faut-il choisir ? (22:46) - (34:48)

• Pourquoi les périodes les plus dures sont parfois les plus nourrissantes.

• L’importance de savoir pourquoi on fait ce qu’on fait à un instant T.

• Est-ce qu’on peut vraiment tout avoir : performance, liberté, joie ?

• Le lien entre indépendance financière et cadre personnel ultra clair.

L’ultime erreur en période de crise (34:49) - (39:55)

• La question à ne pas oublier quand on coupe une ligne de dépense.

• Pourquoi couper l’acquisition est souvent le pire choix.

• Est-ce qu’un lead non converti est forcément un mauvais lead ?

• La pépite finale : et si le problème n’était jamais l’acquisition ?

Conclusion :
On peut survivre sans acquisition… mais combien de temps ?

Si on coupe l’oxygène au business à la moindre tempête, comment construire quelque chose de durable ?

Et vous, vous optimisez quoi en ce moment : la croissance, le cash ou le bonheur ?