Pendant ces 4 mois, j’ai vécu entre le Brésil et Dubaï.

Deux ambiances radicalement différentes, mais surtout une révélation :

➡️ Ce n’est pas où tu es qui change tout.

➡️ C’est qui tu deviens quand tu es là.

Voici ce que j’ai ressenti en revenant en France :

• Une impression de ralentissement général :

  Beaucoup de personnes âgées, des villes qui n’ont pas bougé, un immobilier figé.

• Une grisaille pesante. Il pleut, il fait sombre.

  Et sans m’en rendre compte, mon énergie baisse.

• Des voitures simples, des visages fermés, et une sensation étrange : Comme si le pays n’avait plus les moyens de rêver grand.

• Et surtout… je me suis surpris à me déconnecter de mes ambitions.

À Dubaï, je ne suis pas le même.

Pas parce que c’est la destination à la mode chez les entrepreneurs.

Mais parce que tout autour de moi est en expansion.

Et que je suis naturellement tiré vers le haut.

➡️ Mon immeuble a une salle de sport et une piscine.

➡️ Je n’ai pas à réfléchir à la météo, à l’organisation, au timing.

Résultat :

Tout est simple.

Tout est fluide.

Et ce que je n’avais pas prévu…

C’est que je me comporte comme la version de moi que j’avais imaginée.

Alors qu’en France… je redeviens l’ancien Xeryus.

Celui qui trouve des excuses.

Qui attend que ça passe.

Qui stagne.

Tout ça m’a fait comprendre une chose :

L’environnement, c’est pas juste un décor.

C’est un catalyseur d’identité.

Et je ne te parle pas de déménager à Dubaï.

Mais de te poser cette vraie question :

➡️ Ton environnement actuel… t’élève ou t’endort ?

Parce qu’au fond, ce n’est pas juste une question de climat ou d’infrastructures.

C’est une question de vision, d’ambition, d’énergie.

Et ça, c’est entre tes mains.