Mais que le compte en banque, lui, il fait grève ?

Un mois à 2K.
Le suivant à 1K.

Et la montagne russe continue.

J’ai connu ça.

J’ai passé la boîte de mon client de 20K à 60K/mois.

Et moi, dans l’histoire ?

500€ et un petit merci.

Jusqu’à ce qu’ils trouvent “moins cher”et que la collaboration se termine.

Parce que le vrai problème, c’est pas toi.

C’est ton rôle dans le business de tes clients.

1. Le mythe du freelance “libre”

On nous vend du rêve :

• Liberté

• Remote

• Flexibilité

Mais la vérité pour beaucoup, c’est plutôt :

• Prospection en boucle

• Missions à la chaîne

• Tarifs négociés comme au souk

• Aucune visibilité sur le mois prochain
  
  
  

Tu recommences chaque mois à zéro, sans effet cumulé.
C’est comme remplir un seau percé.

Et le pire ?

Même quand t’es bon, tu restes jetable.

2. Ce que cherchent vraiment les clients

Un CEO qui rame…

Il ne cherche pas un freelance.

Il cherche un allié.

Quelqu’un qui comprend la vision,
voit les fuites dans le bateau,
et surtout… sait les colmater.

Pas un exécutant.
Pas un bras gauche.

Un bras droit.

3. Ce que j’ai changé : mon positionnement

Avant : "Copywriter". 150€/jour si t’es sympa.

Après : "Bras droit strat-opérationnel". 2-3K€/mois par client (+ %)

Juste 3 clients, bien choisis, pour 20K/mois.

Sans prospection.
Sans course aux missions.

Pas besoin d’un réseau de ouf.

Ni d’être un “consultant senior” de LinkedIn.

Juste un positionnement clair, et un cadre pour délivrer.

4. Freelance invisible → Partenaire recherché

“J’ai mis 2 ans à comprendre tout ça. Et 90 jours pour tout transformer.”

Aujourd’hui, je ne vends plus mon temps.
Je vends des résultats.

Je suis payé pour penser et exécuter.

Et mes clients me recommandent naturellement.
Pas besoin de courir après les missions.

Si tu veux sortir du mode survie…

Si t’es prêt(e) à poser tes valises dans des missions stables, bien payées, où ta polyvalence est un atout…

Il y a peut-être un chemin pour toi.

Un chemin où tu n’es plus un exécutant qu’on jette dès qu’il tousse.

Mais un pilier, un couteau suisse stratégique, qu’on est prêt à garder… longtemps.